LA PUISSANCE DE L’ENTREPRENEURIAT PARMI L’INCERTITUDE
UNE LETTRE DU FONDATEUR, DE LA FONDATION TONY ELUMELU
En 2020, le monde s’est arrêté, mais pas nous.
Quand nous avons lancé la Fondation Tony Elumelu en 2010, nous avons fait quelque chose de nouveau en Afrique – nous “avons démocratisé” la chance. Dans mon propre parcours entrepreneurial, j’ai su que la chance avait joué un rôle important, et j’étais déterminé que d’autres, beaucoup d’autres, obtiendraient ces mêmes chances
Nous avons créé une institution avec un focus unique : les jeunes entrepreneurs africains. Dix ans plutôt, nous avons su que si nous équipions les jeunes gens avec les outils et les opportunités pour réussir, ça serait la seule pérenne, très digne voie pour créer un chemin pour la prospérité pour tous ; remplaçant la main d’œuvre pour l’autosuffisance et frayant un chemin pour une philanthropie du 21è siècle.
Nous voulions changer comment l’Afrique est perçue et comment l’Afrique croît – créant quelque chose de transformatif, évolutif, inclusif, orienté jeune et dirigé vers l’Afrique. L’aide a un rôle, il a sauvé plusieurs vies ; mais il ne défie pas le statut quo. L’entrepreneuriat, pas la charité, nous donne le contrôle et nous permet de croitre nos talents ; arme notre conduite et notre résilience, comme africains.
Comme nous avons célébré 10 ans, nous avons regardé en arrière sur les initiatives qui ont créées l’indépendance et l’auto-soutenance : le programme professionnel de Elumelu a mener les étudiants en MBA de la principale école globale d’affaires aux affaires africaines, démontrant les opportunités sur notre continent ; le prix Tony & Awele Elumelu, reconnaissant des centaines d’étudiants les plus performants des universités à travers l’Afrique ; un fond d’entrepreneuriat de $100,000 de financement d’amorçage pour 20 principaux projets technologiques africains ; le fond d’impact économique pour l’innovation (FIEI) – une initiative jointe de USS650,000 avec la Fondation Rockefeller pour identifier et financer les start-ups catalytiques à travers l’Afrique ; et en 2015, le partenariat avec le gouvernement des USA pour lancer l’initiative SPARK, une plateforme de secteur privé pour stimuler une coopération globale plus grande et une collaboration pour l’entrepreneuriat.
Plus important, nous avons célébré notre programme d’entrepreneuriat, qui a financé, formé et mentoré plus de 9 000 jeunes entrepreneurs en moins de sept ans, et avec l’aide de notre hub à accès libre TEFConnect, atteint les millions d’entrepreneurs en Afrique. Plusieurs partenaires globaux tel que la Commission Européenne, le Programme des Nations Unies pour le Développement, la Croix Rouge, la Banque Africaine de Développement ont maintenant rejoint le mouvement.
Ce que nous sommes devenus est toujours plus important en 2020
LE DEFIS DU COVID
Il était impératif que nous répondions immédiatement. Nous étions parmi les premiers à catalyser les efforts Pan-Africains de rétablissement, avec la donation de US$14 million par notre Fondation UBA (United Bank for Africa), aux gouvernements à travers l’Afrique. L’Afrique avait besoin de rapidement galvaniser ses propres ressources et s’assurer que nous continuons de protéger les personnes et leurs affaires, vies et moyens de vie.
TEFConnect – la plus large communauté numérique pour les entrepreneurs africains, passant entre les frontières, cultures, langues, et secteurs, a aussi joué un rôle critique. La plateforme aide à assurer la compétitivité, la croissance, et l’évolutivité du secteur privé africain. Nous avons rapidement déployé TEFConnect pour satisfaire les besoins de la communauté entrepreneuriale, significativement en défis par la pandémie. Quand le monde s’est arrêté, nous avons offert des masterclasses menés par des experts pour encourager l’écosystème des PME africaines, couvrant thèmes perspicaces autour de la croissance en affaire, l’innovation qui contribue à comment les affaires peuvent s’adapter au nouveau normal.
Nous avons organisé une formation de classe du mondiale, avec des établissements tels que l’université de Yale, et avons apporté les qualifications en gestion de projet et de mécanisme d’adaptation mentale aux entrepreneurs africains, prenant soin leur pensée et leur esprit, nous les avons aidés pour restructurer leurs affaires pour le nouveau normal. TEFConnect a aidé à assurer un réseau plus fort des entrepreneurs africains. Notre raisonnement est simple : employer les ressources naturelles africaines pour actionner l’Afrique, pour créer les chaines de valeurs basées sur l’Afrique et pour assurer la création de valeur basée sur l’Afrique. Nous avons formé et avons équipé des milliers d’entrepreneurs par TEFConnect pendant l’arrêt et continuerons à atteindre encore plus.
C’était une année du défi extraordinaire, dont l’impact économique sera avec nous pendant des années à venir, et nous étions implacables en poussant en avant.
LA PUISSANCE DU PARTENARIAT
Avec nos partenariats, nous influençons notre robuste plateforme et process, et prolongeons notre extension. La pandémie a perturbé les affaires et les PME étaient craintives, les entreprises ont besoin de faire plus avec moins de ressources et il y’a volatilité dans la dépense des consommateurs.
Maintenant plus que jamais avant, nous vous invitons à rejoindre le voyage, pour travailler de concert pour mesurer notre programme d’entrepreneuriat, à travers les 54 pays africains, pour donner plus de chances de réussite aux jeunes entrepreneurs, une ligne de sauvetage.
Partenariat avec l’Union Européenne pour €20m – soutien l’Entrepreneur féminin
Nous avons été enchantés d’annoncer notre partenariat avec la Commission Européenne et l’Organisation des Etats de l’Afrique, Caraïbes et Pacifique (ACP) de €20 million, pour soutenir plus de 2 500 femmes entrepreneurs, fournir des formations sensibles aux femmes, aussi bien que les capitaux d’amorçage pour les entreprises de femmes africaines pour naviguer entre les start-ups et phases premières de croissance.
Les statistiques sur l’entrepreneuriat féminin en Afrique sont chatiantes – les femmes représentent 58% de la population africaine des auto-employés mais gagnent 34% de profit moins que la moyenne, avec un gap de financement de $20M pour les femmes africaines. Notre objectif est pour les femmes de participer au développement économique, de réaliser leur plein potentiel et accélérer l’inclusion économique. Pendant très longtemps, les femmes africaines ont enduré les obstacles systémiques pour démarrer, croître, et pérenniser leurs entreprises. Nous allons alléger le financement, les connaissances et les contraintes de marché menaçant le gagne-pain de ces femmes entrepreneures sur le continent, et favoriser un environnement qui créera plus de revenus, emplois, croissance, et évolutivité pour les entreprises détenues par les femmes.
Le Programme d’Entrepreneuriat du TEF-UNDP Mali
Nous voyons l’entrepreneuriat comme une solution pour les défis les plus visibles qu’on voie en Afrique : migration forcée, extrémisme, et instabilité politique.
Avec le Programme des Nations Unies Pour le Développement (PNUD), nous avons lancé le Programme d’Entrepreneuriat du TEF-UNDP Mali, pour former, mentorer, et financer 10 000 jeunes entrepreneurs maliens, pour une période de 3 ans. Plus de 1.7 million de personnes ont été déplacés par la violence au Mali depuis 2012, une partie de la crise transfrontalière du Sahel. Avec les perturbations politiques dans le pays, le malaise de la jeunesse ; la violence et l’insécurité répandues, le Programme d’Entrepreneuriat du TEF-PNUD Mali s’attaque aux facteurs économiques qui perpétuent le conflit et le trouble. Notre Programme d’entrepreneuriat démontre que l’entrepreneuriat est l’outil singulier le plus effectif pour créer des emplois, les opportunités l’espoir économique, lorsque qu’on stimule une croissance soutenable, la réduction de la pauvreté, et enfin la paix et la stabilité. Nous avons délivré ce programme dans un délai de 8 semaines, mentorant, formant et décaissant un financement à 1860 jeunes entrepreneurs maliens avant le 30 décembre.
PROGRAMME D’ENTREPRENEURIAT DE TONY ELUMELU
Maintenant en notre 7ème année de fonctionnement le plus grand programme d’entrepreneuriat sur le continent, nous sommes en particulier concentrés sur l’égalité de genre comme chemin critique pour augmenter et à étendre les effets positifs du travail que nous effectuons à la Fondation. La plupart de nos entrepreneurs sont au courant de cette accentuation sur l’inclusivité. Notre programme d’entrepreneuriat vise tous les secteurs, et toutes les étapes des affaires, partant de l’étape de concept, pour une raison : le développement soutenable doit être inclusif. C’est le seul canal pour un vrai et réel changement. Quand nous pensons à la transformation socio-économique, qui laissons-nous derrière et à quel coût ? les femmes, qui tiennent souvent le double rôle de soutien familial et de preneuses de soin, sont parmi le coup le plus durement touchées par la pandémie à Covid-19. Les femmes gagnent moins, économisent moins, tiennent les emplois moins sécurisés, et sont pour être utilisées dans l’économie informelle, avec moins d’accès à la protection sociale.
ECOUTE
Quand nous parlons de ce que nous faisons, nous avons besoin de savoir que nous sommes aussi bien écoutés.
C’est dans cette écoute que nous avons raffiné notre contenu de formation en affaires pour entrepreneurs – par un programme pour entrepreneurs débutants, intermédiaires et avancés – de sorte nous puissions convenablement les assister dans leur propre chemin de connaissances. Nous savons que accomplir notre objectif exige des revues périodiques de comment nous fonctionnons.
Nous avons aussi examinés les données que nous avions collectées durant les dix années passées, analysant les leçons apprises par nos entrepreneurs dans leur parcours, comprenant mieux notre impact et les résultats de notre intervention en Afrique. Ce travail est essentiel pour nous d’être capable de refléter comment mieux continuer d’autonomiser, servir et soutenir les start-ups en Afrique.
REGARD EN AVANT
Nous savons qu’un secteur privé stable et concurrentiel est une chose nécessaire à la prospérité économique et résoudra certaines de nos nécessités plus pressantes comme continent. Nous devons tous proactivement promouvoir la philosophie Africapitalisme qui place le secteur privé, et d’une manière primordiale les entrepreneurs, comme catalyseur pour le développement économique et social du continent africain. Je soutiens cet effort de plaidoyer avec les politiques, les gouvernements et les chefs d’Etat à chaque occasion qui se présente aussi bien ici en Afrique et que dans le monde.
C’était en restant vraie à notre philosophie sur l’Africapitalisme et notre rôle en tant que leaders du secteur privé africain, que notre administrateur à la Fondation et fondateur et Directrice Générale d’Avon médical, DR Awele Elumelu, a été nommé à l’institut de Yale pour le comité consultatif de santé globale.
Au hackathon Africain-Européen en ligne avec le président de l’Estonie en décembre passé, (EU : L’AFRIQUE LE VOYAGE POST CRISE), j’ai parlé au sujet du besoin d’environnement favorable pour les start-ups africaines, et comment les innovations et les entreprises ne réussiront pas autrement. Je reste inspiré par les possibilités qui peuvent être développées hors de la terre fertile riche de l’Afrique, où l’accès, l’innovation et le disciple se rencontrent et s’imbriquent. Je suis ainsi si excité au sujet de nos entrepreneurs, qui ont maintenant la capacité de créer plus d’emplois, qui prolongent le message de l’effort collectif, qui permettent à de plus en plus personnes d’être de moins en moins liées à la pauvreté.
Pour les 10 ans comme la Fondation qui a atteint son objectif d’autonomisation de 10 000 entrepreneurs dans le temps, notre focus est d’accélérer l’atteinte et l’impact pour avoir des milliers en plus. Nous parlons pour le besoin en transformation, oui, mais pas la vrai transformation est possible sans chacun de nous. La magie de la philanthropie est qu’une vie changée impacte beaucoup plus de gens. Notre première raison pour le plaidoyer est de promouvoir la valeur de l’auto-appréciation dans nos identités comme africains. Que nous pouvons véritablement avancer dans notre propre communauté. Nous sommes émus par l’esprit d’entrepreneuriat en Afrique.
Au nom du conseil d’administration, des employés, des amis et des entrepreneurs de la Fondation Tony Elumelu, je veux saluer votre résilience et exprimer ma pleine confiance en notre capacité de faire des biens significatifs, mesurables et pérennes.
Quand nous parlons de ce que nous faisons, nous avons besoin de savoir que nous sommes aussi bien écoutés.
C’est dans cette écoute que nous avons raffiné notre contenu de formation en affaires pour entrepreneurs – par un programme pour entrepreneurs débutants, intermédiaires et avancés – de sorte nous puissions convenablement les assister dans leur propre chemin de connaissances. Nous savons que accomplir notre objectif exige des revues périodiques de comment nous fonctionnons.
Nous avons aussi examinés les données que nous avions collectées durant les dix années passées, analysant les leçons apprises par nos entrepreneurs dans leur parcours, comprenant mieux notre impact et les résultats de notre intervention en Afrique. Ce travail est essentiel pour nous d’être capable de refléter comment mieux continuer d’autonomiser, servir et soutenir les start-ups en Afrique.
REGARD EN AVANT
Nous savons qu’un secteur privé stable et concurrentiel est une chose nécessaire à la prospérité économique et résoudra certaines de nos nécessités plus pressantes comme continent. Nous devons tous proactivement promouvoir la philosophie Africapitalisme qui place le secteur privé, et d’une manière primordiale les entrepreneurs, comme catalyseur pour le développement économique et social du continent africain. Je soutiens cet effort de plaidoyer avec les politiques, les gouvernements et les chefs d’Etat à chaque occasion qui se présente aussi bien ici en Afrique et que dans le monde.
C’était en restant vraie à notre philosophie sur l’Africapitalisme et notre rôle en tant que leaders du secteur privé africain, que notre administrateur à la Fondation et fondateur et Directrice Générale d’Avon médical, DR Awele Elumelu, a été nommé à l’institut de Yale pour le comité consultatif de santé globale.
Au hackathon Africain-Européen en ligne avec le président de l’Estonie en décembre passé, (EU : L’AFRIQUE LE VOYAGE POST CRISE), j’ai parlé au sujet du besoin d’environnement favorable pour les start-ups africaines, et comment les innovations et les entreprises ne réussiront pas autrement. Je reste inspiré par les possibilités qui peuvent être développées hors de la terre fertile riche de l’Afrique, où l’accès, l’innovation et le disciple se rencontrent et s’imbriquent. Je suis ainsi si excité au sujet de nos entrepreneurs, qui ont maintenant la capacité de créer plus d’emplois, qui prolongent le message de l’effort collectif, qui permettent à de plus en plus personnes d’être de moins en moins liées à la pauvreté.
Pour les 10 ans comme la Fondation qui a atteint son objectif d’autonomisation de 10 000 entrepreneurs dans le temps, notre focus est d’accélérer l’atteinte et l’impact pour avoir des milliers en plus. Nous parlons pour le besoin en transformation, oui, mais pas la vrai transformation est possible sans chacun de nous. La magie de la philanthropie est qu’une vie changée impacte beaucoup plus de gens. Notre première raison pour le plaidoyer est de promouvoir la valeur de l’auto-appréciation dans nos identités comme africains. Que nous pouvons véritablement avancer dans notre propre communauté. Nous sommes émus par l’esprit d’entrepreneuriat en Afrique.
Au nom du conseil d’administration, des employés, des amis et des entrepreneurs de la Fondation Tony Elumelu, je veux saluer votre résilience et exprimer ma pleine confiance en notre capacité de faire des biens significatifs, mesurables et pérennes.